L'information qui paraît, ce jeudi 16 décembre 2010, dans le journal régional La Voix du Nord trouvera une réponse ces jours-ci, mais les lecteurs de ce site sont déjà avertis. Mieux l'éditeur du prochain livre sur Mons-en-Barœul, possède depuis la mi septembre, lui aussi l'explication. Nous aurions espéré une sortie de l'ouvrage afin la mise à jour de cet autre ouvrage !
Malheureusement les éditions Alan Sutton n'envisage pas une publication avant le mois de février 2011, et la page 75 est à réécrire. Nous n'avons d'ailleurs toujours pas reçu à ce jour les épreuves à corriger pour le bon à tirer malgré l'envoi il y a plus de trois mois d'une maquette totalement bouclée.
Dommage, une fois de plus que l'information ne parvienne à franchir certaines murailles que lorsqu'un tas de cailloux bloque des engrenages ... finalement pas si bien huilés. Pourquoi une association - en l'occurrence Eugénies - qui s'occupe vraiment de la sauvegarde du patrimoine n'a t-elle pas été contactée avant de lancer des engins de chantier ?
Quel avenir pour cette pseudo (re)découverte ?
Comme toujours il y a eu lieu d'être inquiet. Les enjeux sont financiers et quelques bénévoles essayent de faire prendre conscience de l'importance d'un patrimoine. Qui s'en soucie vraiment ? Les expériences précédentes, ici et ailleurs, nous rendent très circonspects.
Touche pas à mon fort
Nous serons attentifs, comme lors des travaux effectués dans la cour des casernes, où nous avons pu faire des relevés et sauver quelques éléments (des carreaux de Jurbise des anciens trottoirs, une énorme pierre de Soignies des fermetures des portes de défense, etc). Tout ceci en l'absence d'intervention d'autorité compétente, que nous n'avons jamais vu sur place. Une commission doit décider ... mais à partir de quels éléments, puisque nous sommes conscients d'avoir été sa seule source d'information !
Malheureusement les éditions Alan Sutton n'envisage pas une publication avant le mois de février 2011, et la page 75 est à réécrire. Nous n'avons d'ailleurs toujours pas reçu à ce jour les épreuves à corriger pour le bon à tirer malgré l'envoi il y a plus de trois mois d'une maquette totalement bouclée.
Dommage, une fois de plus que l'information ne parvienne à franchir certaines murailles que lorsqu'un tas de cailloux bloque des engrenages ... finalement pas si bien huilés. Pourquoi une association - en l'occurrence Eugénies - qui s'occupe vraiment de la sauvegarde du patrimoine n'a t-elle pas été contactée avant de lancer des engins de chantier ?
Quel avenir pour cette pseudo (re)découverte ?
Comme toujours il y a eu lieu d'être inquiet. Les enjeux sont financiers et quelques bénévoles essayent de faire prendre conscience de l'importance d'un patrimoine. Qui s'en soucie vraiment ? Les expériences précédentes, ici et ailleurs, nous rendent très circonspects.
Touche pas à mon fort
Nous serons attentifs, comme lors des travaux effectués dans la cour des casernes, où nous avons pu faire des relevés et sauver quelques éléments (des carreaux de Jurbise des anciens trottoirs, une énorme pierre de Soignies des fermetures des portes de défense, etc). Tout ceci en l'absence d'intervention d'autorité compétente, que nous n'avons jamais vu sur place. Une commission doit décider ... mais à partir de quels éléments, puisque nous sommes conscients d'avoir été sa seule source d'information !