Le système de protection rapproché du fort comporte des fossés. Il s'agit de fossés secs et non de douves comme dans les châteaux-forts. Il existe toutefois deux exceptions dans la région de Dunkerque avec des forts Séré de Rivières qui sont entourés d'eau.
Ce fossé cerne le fort sur toute sa longueur, de forme polygonale avec un angle rentrant au niveau de l'entrée. Il n'existe qu'un endroit (à l'origine) pour le franchir en l'occurence le pont-levis. Un autre pont a été construit beaucoup plus tard qui enjambe le fossé nord.
Les fossés sont défendus à l'arrière, en tirs croisés, par les batteries de flanquement. Les fossés nord et est sont sous les tirs de la double caponnière. Le fossé sud est lui protégé par la simple caponnière.
Ce fossé cerne le fort sur toute sa longueur, de forme polygonale avec un angle rentrant au niveau de l'entrée. Il n'existe qu'un endroit (à l'origine) pour le franchir en l'occurence le pont-levis. Un autre pont a été construit beaucoup plus tard qui enjambe le fossé nord.
Les fossés sont défendus à l'arrière, en tirs croisés, par les batteries de flanquement. Les fossés nord et est sont sous les tirs de la double caponnière. Le fossé sud est lui protégé par la simple caponnière.
Le mur du fossé situé du côté du fort s'appele l'escarpe, et son opposé la contre escarpe. Le mur de contre-escarpe comporte des arcs de décharge. Ces voûtes avec des zones évidées avaient comme but de réduire la quantité de matériau pouvant être éffondrée dans le fossé, interceptant de ce fait les tirs de défense.